« Nous faisons avoir au patient acteur le comportement du système de soins, qui nous arrange, où le patient obéit d’une certaine façon, est docile, prend bien son traitement et est bien conscient du coût de son traitement. Si nous voulons que le patient soit autonome, il faut prendre le risque qu’il n’aille pas dans le sens souhaité. A un moment donné, le patient autonome refuse, par exemple, des soins, des traitements. Il souhaite pouvoir se traiter différemment, prendre des thérapies alternatives », défend Anne Buisson, directrice adjointe de l’Association François Aupetit (Afa).
Interview réalisée dans le cadre de la 27ème édition du Festival de la Communication Santé, novembre 2016
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