" En pratique, la maladie de Parkinson reste un peu privilégiée parmi d’autres affections parce que le volume des recherches qui y sont consacrées est de loin beaucoup plus important que le nombre de patients concernés. Par exemple, nous faisons des recherches sur l’hypertension artérielle qui concerne des millions et des millions de personnes en France. Alors que pour Parkinson qui concerne 140 000 personnes, ces recherches sont nombreuses et très actives et proportionnellement beaucoup plus importantes. "