En direct des 49èmes Assises de l’Union de la Presse Francophone (UPF) à l’Université Mohamed VI Polytechnique, (UM6P), à Benguerir au Maroc.

À travers ces Assises, voyez-vous une perspective positive dans les médias pour les femmes en Afghanistan ? 

« C’est très difficile de répondre à cette question. J’ai 14 ans d’expérience comme journaliste en Afghanistan et en Belgique. Je suis contente car dans mon pays, j’ai ouvert le chemin à d’autres femmes journalistes. Depuis, de nombreuses femmes ont choisi ce métier. Elles sont plus libres que par le passé. »

Quel conseil donneriez-vous à une femme pour qu’elle devienne journaliste en Afghanistan ou dans un pays en conflit ? 

« En Afghanistan, il faut toujours rester très fortes et ne jamais abandonner. Je dis toujours aux femmes de commencer le combat, pas avec une arme, mais avec un stylo. Dans des pays comme l’Irak, la Syrie, maintenant l’Ukraine ou d’autres pays en guerre, les femmes doivent toujours rester fortes et quand la guerre commence, les journalistes doivent donner beaucoup d’informations pour le peuple. C’est notre combat. »

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