Pour le Dr. Marc-Antoine Crocq, médecin psychiatre et co-coordinateur du DSM-5 : "Le bénéfice d’avoir une classification est indirect pour les patients. Le praticien peut avoir des références théoriques et peut se dire : « mon patient a tel problème », ce qui le renvoie à tel schéma de trouble et lui permet de se documenter, d’accéder à la littérature internationale. Le DSM-5 est une garantie que le psychiatre puisse avoir une certaine culture en matière de littérature et de recherche."
Interview réalisée à l'occasion du lancement du DSM-5 en langue française.
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