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Nous avons la chance en France de pouvoir financer ces tests à travers le RIHN qui est un financement transitoire, mais seulement partiel : il ne couvre à l'heure actuelle que 50 % des coûts engagés par le centre. L’autre moitié est à la charge du centre.
Dans le cadre du RIHN, 50 % du coût des tests génomiques est à la charge de l'établissement de santé. Les établissements publics doivent attendre un an pour être remboursés. Cela crée une iniquité d'accès.
Observer quotidiennement sur des critères précis comment les patients supportent un médicament, comment ils réagissent à un traitement ou à une intervention pour confronter les résultats des études classiques à leur utilisation en vie reelle.
Garantir l’accès et la prise en charge des innovations en France pour éviter les pertes de chance.
Des interviews réalisées depuis 18 ans, publiées dans le magazine Visite Actuelle et diffusées en vidéo sur Acteurs de santé Tv.
Un livre plus que jamais d’actualité répond a toutes les questions qu’on peut se poser sur le cannabis médical.
Il faut parfois dépenser un peu pour économiser beaucoup. Entre un test qui coûte 1 850 € et le coût global d'un traitement par chimiothérapie qui peut avoisiner les 50/60.000 €, l’écart est conséquent. Et puis, éviter une chimio, ça n’a pas de prix !
Avec la refonte récente du RIHN, si on reste dans ce système plus de 5 ans, ce qui est le cas des signatures moléculaires, une décote de 20% de la prise en charge sera appliquée tous les ans. Cela nous préoccupe beaucoup.
Au-delà des signatures génomiques dans le cancer du sein, c’est l’ensemble des tests, des biomarqueurs et des technologies de séquençage de nouvelle génération qui posent la question de leur financement.
Ce que l'on cherche avec le cannabis médical, ce n’est pas de shooter les patients, mais de les soulager de leurs symptômes.
Être journaliste, c'est formidable lorsque nous arrivons à changer les choses !
Un test génomique qualifié de « clou du congrès » de la Société Française de Médecine Prédictive et Personnalisée (SFMPP) par son président, le Pr Pascal Pujol.
Certaines innovations ont un coût mais elles permettent aussi de faire des économies. Certains croient que la médecine personnalisée est inflationniste, c'est faux.
Le futur, c’est l’investissement de l’oncologie dans le champ de la prévention.
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François SARKOSY, FSNB Health & Care
Catherine SIMONIN-BÉNAZET, Présidente de la commission Santé et Politiques de Santé, Ligue nationale contre le cancer
Yann-Maël LE DOUARIN, DGOS, Chef du Département de la transformation numérique en santé
Maciej GAJEWSKI, Responsable des Affaires publiques, Exact Sciences
De belles personnes. Professeurs, chercheurs patientes, témoins…
Docteur Pomone RICHARD, médecin pathologiste, SMPF, Toulouse
Dr Thomas de BROUCKER, Neurologue, Centre hospitalier de Saint Denis, FFN
Dr Rodolphe LHAF, chirurgien orthopédiste et traumatologue, CHAM, Montreuil-Sur-Mer
Dr Charles FIQUET, Chirurgien orthopédiste, spécialiste du genou, Clinique de l’Infirmerie Protestante, Lyon
Laure GUEROULT ACCOLAS, fondatrice de Patients en réseau - Mon Réseau cancer du sein