Il l’avoue, sa vocation était de rencontrer des gens, plutôt que de connaître les maladies. « Je pense que nous sommes passés de la tradition orale à la tradition écrite, et qu’aujourd’hui nous rentrons dans l’ère de la dématérialisation et du numérique. En matière de santé, il ne faut pas avoir d’idéologie, il est préférable de croiser les sources d’information, parce que le cas particulier d’une personne qui est en recherche ne se confond pas avec une information qui est de portée générale.» Interview réalisée au Festival de la Com santé à Deauville 2013.
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